Véronique Dupéré Ph.D.

Professeure agrégée à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal et Titulaire de la chaire de recherche

Formée à l’Université Laval (M.A.), l’Université de Montréal (Ph.D.) et à Tufts University (études post-doctorales), je suis actuellement professeure agrégée à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal. En plus d’être titulaire de la Chaire du Canada sur la transition à l’âge adulte, je suis également cotitulaire de Myriagone - Chaire McConnell-Université de Montréal en mobilisation des connaissances jeunesse et chercheuse régulière à l’Institut universitaire jeunes en difficultés du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l'Île-de-Montréal (CIUSSS-CSMTL), au Centre de recherche en santé publique de l’Université de Montréal et du CIUSSS-CSMTL, et au sein du Groupe de recherche sur les environnements scolaires.

Mes travaux portent sur les adolescents et les jeunes adultes et s’insèrent dans une approche axée sur les parcours de vie. Plus spécifiquement, ils examinent comment la distribution inégale du soutien et de l’adversité influence les trajectoires d’éducation, d’insertion en emploi et d’adaptation psychosociale. Ils sont financés par des organismes fédéraux, provinciaux et institutionnels, et publiés dans des revues scientifiques en éducation (p. ex., Review of Educational Research), en psychologie du développement (p. ex., Child Development) et en sciences sociales et santé (p. ex., Journal of Adolescent Health, Journal of Health and Social Behavior).

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Étudiant(e)s au laboratoire
 
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Guillaume Descary

Étudiant au doctorat en psychoéducation à l’Université de Montréal

Mon baccalauréat en psychoéducation et mon expérience en intervention communautaire ont confirmé mon intérêt pour les populations marginalisées. Les capacités d’adaptation des individus faisant face à des problématiques multiples inspirent mes travaux. Je suis intéressé à comprendre quels facteurs permettent à certains individus de créer une rupture avec une trajectoire défavorable et de conserver un équilibre, malgré une addition de facteurs de risques personnels et sociaux. Il est à mon sens impératif de considérer ces expériences humaines comme une richesse servant de manière accessoire à l’avancée de nos connaissances, mais dont le but ultime est de favoriser l’épanouissement des jeunes marginalisés et d’aplanir les iniquités sociales.

Ma thèse portera sur certains facteurs intrapersonnels qui pourraient modifier positivement la trajectoire d’employabilité et de scolarité de jeunes provenant de milieux défavorisés et exposés à des événement de vie stressants, au moment de la transition vers l’âge adulte.

Domaines d’activité:

  • Recherche sur la transition à l’âge adulte de jeunes provenant de milieux défavorisés ou ayant atteint la majorité en institution

  • Recherche sur l’influence de la COVID-19 sur la santé mentale des jeunes adultes et sur leurs stratégies d’adaptation

  • Coordination, production et diffusion de matériel scientifique par l’entremise de médias numériques


 
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Aïda Benaguida

Étudiante au doctorat en psychoéducation à l’Université de Montréal

Après avoir complété un baccalauréat en psychologie, j’ai décidé de poursuivre mon cheminement académique en psychoéducation. C’est dans cette transition que j’ai rencontré Véronique Dupéré qui m’a accueillie chaleureusement dans son laboratoire de recherche. Durant cette année propédeutique, intense et pleine de rebondissements, j’ai pu prendre part au projet Parcours, un des projets sur lequel travaille l'équipe. J’ai eu l’occasion d’occuper plusieurs responsabilités telles que le codage, la passation d’entrevue et la coordination des entrevues. Ce projet d’envergure permet de suivre plus de 500 jeunes dans leur transition à l’âge adulte. D'ailleurs, personne n’échappe à cette étape fatidique.

Actuellement, je suis candidate à la maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal. Mon intérêt grandissant pour l’hétérogénéité des parcours de vie m’a amenée à me questionner sur les raisons de cette hétérogénéité. Ainsi, mon projet de mémoire portera sur cette problématique. Plus particulièrement, je tente de comprendre les raisons qui poussent les jeunes ayant décroché à continuer dans un cheminement sans emploi, ni éducation et ni formation (NEET) alors que d’autres empruntent d’autres voies les menant à avoir un travail, une formation ou même à retourner aux études.


 
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Fatima Alawie 

Étudiante au doctorat en psychoéducation, option recherche, à l’Université de Montréal

Mon projet de recherche porte sur le rôle protecteur de l’activité physique contre les symptômes dépressifs et anxieux chez les adolescents exposés à l’adversité familiale. Peu d’études ont examiné des facteurs protecteurs modifiables pouvant favoriser la résilience chez les adolescents exposés à l’adversité familiale. Comme l’anxiété et la dépression sont en expansion à l’adolescence, il semble primordial de s’attarder sur des moyens peu coûteux et sains comme l’activité physique.

Mon intérêt pour la recherche provient de mes expériences acquises lors de mon baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal et lors de ma maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal. Au baccalauréat, j’ai eu l’opportunité d’effectuer deux projets de recherche qui m’ont permis de me familiariser avec toutes les étapes de la recherche. À la maîtrise, j’ai été assistante de recherche et j’ai travaillé sur mon projet de recherche que j’ai pu présenter à plusieurs conférences. Outre mes expériences en recherche, je détiens également des expériences en clinique, puisque j’ai été éducatrice et formatrice sur les techniques de l’écoute active. Ces expériences m’ont permis de parfaire mes capacités d’écoute, de rigueur et d’empathie. Grâce à la combinaison de mes expériences en recherche et en clinique, j’ai réalisé que la recherche m’intéressait davantage. En somme, mes expériences en recherche et ma curiosité intellectuelle m’ont poussé à poursuivre mes études en recherche aux cycles supérieurs.


 
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Rocio Macabena Perez

Étudiante au doctorat en psychoéducation à l’Université de Montréal (co-direction)

Détentrice d’un DEC en arts visuels, je me  suis tournée vers la psychoéducation afin d’utiliser la pratique artistique comme levier de motivation et d’engagement des jeunes marginalisés, décrocheurs et avec des problèmes de santé mentale. Mes expériences professionnelles en tant qu’éducatrice artistique pour l’OSBL MU (Montréal) depuis sept ans qui se spécialise dans la réalisation de murales collectives dans la communauté, dans le milieu scolaire et avec des artistes professionnels et mes expériences comme accompagnatrice clinique pour l’organisme Espace Transition du Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine (Montréal) qui anime des ateliers artistiques (cinéma, théâtre) auprès de jeunes vivant avec des problèmes de santé mentale m’ont amené à jumeler passion personnelle et recherche. De fait, dans le cadre de mes études doctorales en psychoéducation, j’ai décidé de fusionner l’art et la santé mentale en créant le programme Art en Tête qui est un programme d’art mural parascolaire adapté aux besoins de jeunes de secondaire 4 et 5 qui ont des difficultés socio-émotionnelles et qui se veut complémentaire aux services d’intervention classiques offerts dans les écoles. Le tout en collaboration interdisciplinaire avec MU, le CHU Sainte-Justine et l’Université de Montréal. Le programme prend appui sur le cadre théorique du Développement Positif des Jeunes, cadre particulièrement mis en valeur et préconisé dans mes diverses implications et choix dans les domaines cliniques, de la recherche et en développement de programmes voués à améliorer le bien-être des jeunes qui sont les acteurs de demain. 

Ma sensibilité à la réalité des jeunes vivant avec des difficultés de santé mentale et ma connaissance de l’art comme outil de motivation et de changement témoignent de mon engagement certain à l’investigation de la place de l’art dans la relation d’aide, puissant outil de communication et d’expression pourtant rarement utilisé, et encore moins souvent évalué. Ainsi, j’aimerais développer une expertise de recherche combinant les domaines de l’intervention, de l’art, de la jeunesse, de la santé mentale et des activités plaisantes.  Je suis supervisée par Kim Archambault (Ph. D., Université de Montréal) spécialisée dans les initiatives artistiques favorisant la santé mentale et par Véronique Dupéré (Ph.D., Université de Montréal) qui contribue au projet avec ses connaissances connues pour ses études sur le décrochage, l’engagement scolaire ainsi que la transition et les défis vécus entre l’adolescence et l’âge adulte.


 
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Julia Stamp

Étudiante au doctorat en psychologie - Recherche et intervention
(Ph.D. R/I) à l’Université de Montréal


 
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Carol-Ann Larose 

Étudiante au baccalauréat en psychoéducation de l’Université de Montréal, profil Honor

Au cours de mon baccalauréat en psychologie, j’ai rapidement constaté que la psychologie sociale, la psychologie du développement ainsi que les difficultés d’adaptation représentaient des thématiques qui me captivaient énormément. De cette façon, ce fort intérêt m’a aussitôt incitée à enrichir mes connaissances théoriques et pratiques sur le sujet et à poursuivre en psychoéducation dès l’obtention de mon diplôme. Dès lors, j’ai eu droit à une brève expérience de travail en intervention auprès d’une clientèle adolescente dans une maison des jeunes et, depuis près de deux ans, j’ai aussi eu la chance de travailler au Centre Philou en tant qu’éducatrice afin d’intervenir auprès d’individus polyhandicapés. Côtoyer ces deux clientèles m’a permis de confirmer ma volonté d’accompagner les jeunes dans leurs difficultés quotidiennes et de les aider à les surmonter en s’adaptant à leur environnement et ce, à leur rythme.   

Depuis déjà quelques mois, j’ai l’opportunité de travailler en tant qu’auxiliaire de recherche dans le laboratoire de Véronique Dupéré. Pour le moment, j’ai pour tâche d’effectuer la transcription d’entretiens pour le projet Parcours. Ce travail me sera très bénéfique professionnellement, puisqu’il me permettra de bien saisir les enjeux auxquels les jeunes issus de milieux à risque font face lors de leur transition vers l’âge adulte et me donnera une première expérience de recherche avant d’entamer, en septembre prochain, le cheminement honor durant lequel je découvrirai toutes les étapes essentielles à la rédaction d’un rapport scientifique. 

 
Techniciennes de recherche

Solène Ménard

Technicienne de recherche

C’est suite à mon baccalauréat en psychoéducation que j’ai pris la décision de poursuivre mon parcours aux études supérieures, en entamant la maîtrise en psychoéducation. Depuis la fin de ma troisième année au baccalauréat, j’ai commencé à m’impliquer activement en recherche, notamment au sein du laboratoire de recherche de Véronique Dupéré, en faisant du codage pour le projet Parcours.

Mon mémoire porte sur les stresseurs scolaires et l’engagement scolaire des adolescents issus de l’immigration en classe d’accueil. L’intérêt de mon sujet de recherche se situe dans l’importance de l’engagement scolaire comme facteur incontournable pour l’intégration de ces jeunes. Au Québec, plusieurs élèves immigrants intègrent le système scolaire via les classes d’accueil. Je m’intéresse donc aux moyens de favoriser leur intégration et leur engagement dans ces classes, notamment en me penchant sur le rôle des sources de soutien en milieu scolaire. L’intérêt pour mon sujet de recherche, jumelé à une grande curiosité intellectuelle, confirment mon désir de poursuivre aux études supérieures en entamant sous peu le doctorat en psychoéducation.

 
 
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Raphaëlle Théorêt

Technicienne de recherche

Cela fait plus d’une dizaine d’années que j’ai un intérêt marqué pour l’implication communautaire, la compréhension des dynamiques sociales et la réduction des inégalités. Ayant passé du domaine du graphisme aux domaines de l’éducation et des sciences humaines, j’ai rapidement développé une passion pour la psychologie et la sociologie. C’est ce qui m’a amenée à compléter un baccalauréat en psychoéducation à l’Université de Montréal et à continuer mon parcours à la maîtrise.

Ayant toujours été engagée au sein de ma communauté et ayant travaillé dans divers milieux communautaires et scolaires, j’ai pu être en contact avec des populations très variées. L’inclusion et la justice sociale me tenant particulièrement à coeur, je m’intéresse au potentiel d’autodétermination des personnes et des différentes communautés. Au cours des dernières années, j’ai commencé à m’intéresser plus spécifiquement à l’influence des stresseurs et des traumas, autant au niveau individuel que social. C’est l’envie de participer davantage à l’avancement des connaissances qui m’a amenée à faire le saut dans le milieu de la recherche. M’impliquer au sein du projet Parcours est donc tout à fait dans mes cordes.

 
 
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Étudiant(e)s diplômé(e)s

2022

 
 

Éliane Thouin

Diplômée du doctorat et de la maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal

J’ai commencé mon implication dans le projet Parcours en 2015, alors que je terminais mon baccalauréat en psychoéducation. J’ai participé à l’ensemble des tâches du laboratoire, incluant notamment la passation d’entrevues, la codification de données et la préparation des instruments de mesure de la phase 2. Au sein du projet, j’ai également réalisé un mémoire de maitrise supervisé par Véronique Dupéré qui porte sur le rôle protecteur de la participation à des activités parascolaires pour endiguer le décrochage scolaire auprès des adolescents considérés à risque. J’ai aussi pris part au projet La classe enchantée menée par Pr. Dupéré et sa collègue Isabelle Archambault, qui rejoignait mes intérêts pour les contextes de développement positif, la persévérance scolaire et l’adaptation psychosociale.

Maintenant rendue au doctorat, j’agis à titre de coordonnatrice des projets Parcours et La classe enchantée. Ces rôles m’amènent à réviser et à corriger les rapports d’entrevue, à organiser les banques de données et à planifier les collectes dans les écoles. Dans le cadre de ma thèse, je travaille à nouveau sur les facteurs de protection et de promotion auprès des jeunes à risque, en ciblant plus spécifiquement la période du début de l’âge adulte. J’examine les sources de soutien et les forces individuelles qui aident les jeunes à surmonter l’adversité lors de leur transition de l’école au travail. Mes travaux s’inscrivent dans les modèles théoriques de la Résilience et des Parcours de vie, et intègrent des notions issues des domaines de la sociologie et de la psychologie développementale.

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Marilou Meilleur

Diplômée de la maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal

Dans le cadre de mon baccalauréat en psychoéducation, je me suis rapidement intéressée aux pratiques basées sur des données probantes en contexte clinique. Mes intérêts complémentaires pour la pratique et la recherche ont fait en sorte que j’ai choisi le cheminement Honor à la fin de mon baccalauréat afin de m’initier à la recherche. C’est ce qui m’a amenée à travailler pour le laboratoire de recherche de Véronique Dupéré, notamment sur les projets Parcours et La classe enchantée, des projets axés respectivement sur la transition à l’âge adulte et la persévérance scolaire.

Mes expériences auprès de jeunes en difficulté en tant qu’éducatrice en Centre jeunesse et auxiliaire de recherche m’ont motivée à approfondir mes connaissances sur un sujet précis, soit l’impact de la participation à des activités parascolaires sur le développement positif des jeunes, plus précisément sur leur engagement scolaire. Étant maintenant étudiante à la maîtrise en psychoéducation sous la direction de Véronique Dupéré (Ph.D., Université de Montréal) et d’Isabelle Archambault (Ph.D., Université de Montréal), mon mémoire portera sur l’évaluation des effets de La classe enchantée, un programme d’activités parascolaires d’enrichissement musical, sur l’adaptation scolaire et psychosociale des élèves d’une école primaire du secteur public située dans un quartier pluriethnique et défavorisé.

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Jessica Roy

Diplômée de la maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal

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2021

 
 

Catherine Frigon

Diplômée de la maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal

Mes proches me décrivent comme une éternelle étudiante : j’ai complété un baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal, puis un DESS en intervention en déficience intellectuelle à l’UQÀM. J’ai ensuite eu le désir de devenir psychoéducatrice, de par mes expériences de bénévolat, de stage et de travail, ce qui m’amena à compléter une propédeutique pour accéder à la maîtrise en psychoéducation. Depuis le début de mes études collégiales, j’ai un intérêt pour les problématiques de santé mentale et particulièrement pour la période de l’adolescence. Au fil de mon parcours, j’ai adoré mes différentes expériences auprès d’adolescents-es : j’ai travaillé dans le cadre d’un projet gouvernemental affilié aux maisons des jeunes, les CIEC, aussi, j’ai effectué un stage au Centre jeunesse de Montréal. Actuellement, je travaille auprès d’adultes ayant une déficience intellectuelle ainsi que des problématiques de santé mentale diversifiées, une autre clientèle auprès de laquelle j’aime beaucoup travailler. Ces expériences me poussent à me questionner et m’ont donné la motivation de poursuivre aux études supérieures en psychoéducation.

Mon mémoire porte sur l’effet modérateur du timing sur le lien entre la mobilité scolaire au secondaire et le décrochage scolaire. Peu d’études se sont penchées sur l’aspect du timing sur ce lien, soit l’effet d’un changement d’école au cours d’une année scolaire ou pendant l’été, au début du secondaire ou vers la fin de secondaire. La mobilité scolaire est une étape qui peut être vécue difficilement chez certains jeunes, puisqu’elle est souvent accompagnée d’autres évènements marquants (perte des amis, séparation des parents, déménagement).

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Camélie Archontakis

Diplômée de la maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal

Dès le début de mon cheminement au baccalauréat en psychologie, je me suis impliquée dans le domaine de la recherche. J’ai tout d’abord travaillé en tant qu’auxiliaire de recherche dans un laboratoire de neuropsychologie, ce qui a réveillé en moi un vif intérêt pour la recherche. J’ai par la suite découvert le domaine de la psychoéducation vers la fin de mon parcours en faisant la connaissance de Véronique Dupéré. Celle-ci m’a accueillie sans hésiter dans son équipe de recherche afin de travailler sur le projet Parcours, un vaste projet de type longitudinal permettant de mieux comprendre la transition à l’âge adulte de 545 jeunes issus de milieux à risque. Étant auxiliaire de recherche dans son laboratoire depuis 2017, mes responsabilités furent variées. J’ai eu l’occasion de faire de l’entrée de données, de coordonner et de faire les entrevues auprès des participants et de coder les vignettes cliniques. Finalement, j’ai eu l’opportunité de collaborer à la création du présent site web.

Je suis présentement candidate à la maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal. Étant éducatrice en centre jeunesse depuis 2018 et ayant toujours eu à cœur le développement positif des jeunes les plus vulnérables, j’ai décidé de me pencher sur les effets de l’adversité familiale sur le développement des jeunes. Plus précisément, mon mémoire porte sur l’étude de l’effet exacerbant d’un historique d’adversité familiale durant l’enfance sur le lien entre le fait des vivre des évènements stressant et le décrochage scolaire à l’adolescence.

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Charlotte Paquette

Diplômée de la maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal

Faire la différence dans la communauté et adresser les problématiques d'iniquité sociale ont toujours été les vecteurs principaux de mon cheminement en psychoéducation. À travers mes expériences de stage en petite enfance et à la protection de la jeunesse, et mes expériences de travail auprès de la clientèle vivant avec un handicap physique, j'ai été sensibilisée au fait que plusieurs populations sont encore marginalisées au Québec, et qu'il faut leur offrir l'intérêt qu'elles méritent.

C'est pourquoi le projet Parcours de Véronique Dupéré tombe dans mes cordes : il s'agit d'un projet de recherche qui s'intéresse à une population à risque et marginalisée dans la recherche. Je suis donc dans l'équipe de Madame Dupéré à titre d'auxiliaire de recherche depuis 2018. J'y ai participé comme intervieweuse et coordonnatrice des entrevues. Au niveau de mes projets de recherche, mon travail Honors et mon mémoire portent sur le développement de la dépendance aux jeux vidéo chez les adolescents et jeunes adultes à risque de décrochage scolaire. On sait que l'utilisation des jeux vidéo a de nombreux apports : stimulation de la créativité, amélioration de la coordination, accès à des sources de valorisation et de développement de soi, etc. Malgré ces apports, on observe aussi chez certains joueurs des conséquences négatives majeures, telles que la perte d'intérêt, la diminution de l'hygiène de vie, le désinvestissement dans l'éducation ou l'emploi et l'apparition de symptômes de sevrage. On dit que jusqu'à 10% des jeunes joueurs (17-25 ans) développeraient une utilisation problématique des jeux vidéo ; il est donc intéressant d'examiner ce qui mène au développement d'une telle utilisation.

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2020

 
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Geila Kullmann Goncalves 

Diplômée de la maîtrise en psychologie à l’Université de Montréal

Le lien entre le soutien social et la santé mentale auprès des jeunes est un sujet qui m’a toujours passionnée. Je suis à la maitrise en psychologie et mon projet de recherche consiste à étudier le lien entre l‘exposition à des stresseurs et le décrochage scolaire ainsi que le rôle modérateur du soutien des parents, des pairs, des professionnels et des enseignants.

Mon parcours académique et professionnel souligne mon intérêt pour l’intervention et la recherche en santé mentale auprès des jeunes. Au Brésil, j’ai travaillé comme psychologue dans un centre d’orientation pour les étudiants d’une université publique. Notre équipe multidisciplinaire a développé des projets de recherche et d’intervention afin de soutenir la réussite académique et le bien être émotionnel des étudiants. Je fais également partie d’un regroupement étudiant dans lequel j’occupe un poste de planification de projets en santé mentale pour le bien-être de la communauté académique.

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Alexandra Lessard-Gagnon

Diplômée de la maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal 

Le monde de la recherche s’est présenté à moi comme un défi à relever. N’ayant jamais sérieusement expérimenté cette activité, j’ai été intriguée par ce domaine qui caractérise largement le monde universitaire. Afin d’ajouter une corde à mon arc et d’actualiser mes capacités, j’ai choisi de faire ma maitrise en psychoéducation sous la modalité mémoire et stage. 

Ayant eu un parcours atypique, ce n’est qu’au terme de ma deuxième année de maitrise que j’ai fait la connaissance de Véronique Dupéré qui m’a prise sous son aile. Elle m’a ainsi offert l’opportunité d’apporter ma contribution à un grand projet, mais également, de mener à bon port le volet recherche de ma maitrise. 

J’oeuvre actuellement à titre de psychoéducatrice au centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie-ouest au programme jeunes en difficultés 6-17 ans. Avant d’obtenir mon permis temporaire, j’ai également occupé un poste d’éducatrice spécialisée en dépendance auprès de la clientèle adulte. 

Or, en tenant compte de mes intérêts et expériences, j’ai choisi de conduire un projet de recherche explorant le rôle de la consommation sur le décrochage scolaire lorsque les jeunes du secondaire sont exposés au stress. Ultimement, cette expérience me permettra de créer un pont entre la recherche et la pratique, ce qui, à mon avis, s’avère impératif afin de répondre de la manière la plus juste possible aux besoins de la clientèle vulnérable.

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2018

 
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Kamel Afia

Diplômé de la maîtrise en adaptation scolaire et sociale à l’Université du Québec à Montréal, et

Après avoir complété un baccalauréat en éducation physique et sportive et une maîtrise en sciences humaines et sociales en France, je me suis dirigé vers le Québec en 2017 afin de débuter une nouvelle maîtrise en Adaptation scolaire et sociale à l’UQAM. J’y ai fait la rencontre d’Éric Dion, alors enseignant en charge du cours de Statistiques, qui se porta intéressé pour diriger mon mémoire de maîtrise. Nous avons, ensemble, étudié « le lien entre l’encadrement offert par la famille et le décrochage scolaire au sein de deux échantillons distincts». Un échantillon concernait des jeunes issus de l’immigration et un second de souche européenne. J’ai ainsi pu bénéficier des données que le projet Parcours de Véronique Dupéré renfermait en son sein.

J’ai été dès lors mis en contact avec cette dernière qui accepta de me prendre au sein de son laboratoire de recherche au département de psychoéducation (GRES) en tant qu’auxiliaire de recherche en Avril 2017.

S’en est suivi la mise en œuvre d’un ensemble de tâches diversifiées au sein du « Projet Parcours » qui se définit comme une étude longitudinale permettant de mieux comprendre la transition à l’âge adulte de 545 jeunes issus de milieux jugés à risque.

La diversité de mes tâches s’est faite entre la conduite d’entrevues auprès des participants, l’appel aux participants pour programmer ces entrevues, le codage de vignettes cliniques ainsi que la formation des nouveaux auxiliaires de recherche.

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